samedi 5 juillet 2008

polaroïdes



4 commentaires:

Anonyme a dit…

Les songes des rêves d'un autre temps, l'estampe verdâtre polychromique malgré tout de deux êtres dans l'unique. Comme un brume, voile protecteur des instants de bonheur d'un été où tout semblait simple, où dormir dans l'air-rbe à chat était facile et où flâner la cigarette au bec paraissait objectif. Le film atemporel d'un doux rêve, la douceur d'un moment hors du temps qu'à su fixer l'instant.

Anonyme a dit…

Amen.

Anonyme a dit…

bien que je flaire le verbiage et le verbe abscons, spécieusement profond, inutilement pseudo-lyrique, aussi dégueulassement étoffé qu'un fiâcre tunné, dignement con, connement digne mais drôle, finalement. Ami Anonyme, c'est bien malgré moi que je vous ai compris, sans des gens de votre trempe, c'est à un vaste goulag qui ne tire son âme que de quelque nobles khmers torturés que l'humanité alerte et consciente ressemblerait. Certes. Mais un goulag avec un crematorium en or massif, avec des tobbogans curvilignes couleurs mirabelles, des chiards rieurs et des nains intègres, l'un pompiste, l'autre claviériste, parfois chômeur, même. Bref, un goulag respirant la quiétude, l'émancipation, l'élévation spirituelle libérée, l'abolition de la connerie récurrente ainsi qu'un soupçon de lavande, mais alors juste pour la frime.

Anonyme a dit…

Désolé, c'était seulement pour paraître gentil, à mon niveau parce que finalement j'aime assez ces deux personnages et ce qui en découle ici. J'étais sincère mais maladroit.